Catégories : Rencontres ABDL-infantilisme-diaper lover
il y a 11 ans
Jeudi 20 Mars, je reçois un appel téléphonique de la Mairie m'informant de l'arrivée imminente d'une nouvelle patiente et je m'en réjouis d'avance. Je m'appelle Marie et je dirige une clinique privée accueillant principalement des personnes âgées, mais disposant également d'un service psychiatrique dans ce département rural ne disposant que d'un hôpital susceptible d'accueillir ce type de pathologies. Malheureusement ce service était menacé de fermeture par manque de patients jusqu'à ce que le maire de la commune voisine, un ami, ne nous sollicite pour une demande un peu particulière.
Celui-ci était en but avec une des institutrices de son école primaire contestant sa gestion de l'école et menaçant de dénoncée celle-ci à l'inspection académique. Cette jeune femme, fraîchement sortie de l'IUFM, fait partie de ses exaltées peu familiarisées avec la réalité de l'école au quotidien. Le Maire, après avoir tenté de la raisonner, puis de la faire muter sans succès dans une autre ville, eu finalement une idée pour se débarrasser de l'importune. En effet, à la suite d'une demande d'une famille de la commune, il du prendre un arrêté d'internement à l'encontre d'une personne âgée délirante menaçant d'attenter à ses jours. Peu familiarisé avec cette procédure, exceptionnelle dans sa commune, il se renseigna sur cette prérogative du Maire et fut surpris de constater que cette mesure, lourde de conséquence, était, dans les faits, très peu encadrée.
Sachant son institutrice célibataire, sans attaches locales et surtout pas suivie par ses collègues, il eu l'idée de la faire interner dans notre établissement. Charge à nous de nous occuper de cette jeune femme et de l'amener à plus de compréhension. Le Maire pris donc son arrêté, soutenu pars son Conseil Municipal. Deux gendarmes se présentèrent le lendemain, veuille des vacances de Pâques, au domicile de la jeune femme. Celle-ci fut surprise mais du suivre les gendarmes, ceux-ci ne lui ayant pas communiqué la raison de sa convocation. La jeune femme, nous l'appellerons Anne, compris rapidement qu'elle ne prenait pas le chemin de la gendarmerie, mais celui d'un établissement de soin dont elle ignorait l'existence, car situé à l'écart de la commune dans un grand parc.
Anne fut conduite jusqu'au mon bureau par les deux gendarmes qui me remirent un dossier avant de prendre congés. Je lui ai donc annoncé qu'elle devait passer un examen médical à la demande de son employeur, à savoir la Mairie, et que c'était la raison de sa présence dans nos murs. Dans un premier temps elle marqua un certain étonnement quand à cette procédure un peu inhabituelle, mais m'indiqua que vu les relations exécrables qu'elle entretenait avec le Maire, elle n'était que peu surprise que celui-ci lui envoie les gendarmes et la tracasse avec cet examen médical. Je me gardais bien de lui indiquer la véritable raison de sa présence chez nous, elle le découvrirait bien assez vite.
J'appelle deux infirmières de mon équipe pour prendre Anne en charge. Celles-ci amènent la jeune institutrice jusqu'à un bâtiment annexe, situé au fond du parc de la propriété. Elles introduisent la jeune femme dans une vaste chambre munie d'un lit d'hôpital, d'un paravent, de diverses désertes avec du matériel médical, d'une table et d'une chaise ainsi que d'une table d'examen. Les infirmières indiquent à Anne qu'elle doit se déshabiller en ne gardant que ses sous-vêtements, puis enfiler la blouse qui se trouve disposée sur le lit.
Ensuite elle doit attendre que le médecin vienne l'examiner pour la visite proprement dite. Anne s'exécute et dépose ses vêtements, un jean, un tee-shirt et un pull à col roulé, dans le panier qui lui a été désigné. N'étant plus vêtue que d'un soutien-gorge et d'une culotte de coton blanc elle enfile la blouse blanche qui lui est destinée, blouse courte qui lui arrive à mi-cuisse.
Elle a juste le temps de boutonner cette courte blouse que la porte de la chambre s'ouvre sur les deux infirmières précédemment citées et sur une femme d'une quarantaine d'année qui se présente comme le Docteur Solange Béranger. Celle-ci s'installe à la table de la pièce et complète le dossier médical d'Anne en la questionnant sur son état de santé, ses antécédents etc. Elle invite ensuite Anne à s'allonger sur la table d'examen et procède à un examen clinique, teste les réflexes, prends la tension, etc.
- Tout va bien, vous êtes en parfaite santé, finit-elle par dire à une Anne rassurée. Vous allez maintenant avoir un entretien avec le psychiatre du service.
Anne s'étonne de devoir passer devant un médecin de cette spécialité, mais sa remarque n'est pas prise en compte par le médecin qui quitte la pièce laissant Anne en compagnie des deux infirmières.
Il se passe un bon quart d'heure avant qu'une autre femme médecin vêtue de la traditionnelle blouse blanche ne fasse son apparition dans la pièce. Celle-ci se présente comme le docteur Claire Brisset, psychiatre de la clinique. Anne s'étonnant que cela fasse partie de la visite médicale, le docteur Brisset lui indique que le Maire a expressément demandé une étude psychiatrique approfondie de la jeune institutrice craignant chez elle des troubles du comportement peu compatibles avec l'exercice de sa profession. A ces mots Anne s'emporte et dénonce un abus de pouvoir manifeste et refuse de ce soumettre au moindre test ou entretien sur de telles bases, accusant le Maire de vouloir lui nuire. Le docteur Brisset sans se démonter indique à Anne qu'elle la trouve dans de mauvaises dispositions immédiate et qu'elle la garde 48 heures dans le service avant de rendre ses conclusions. A ces mots, Anne réalise ce qui risque d'arriver et explose :
- Vous n'avez pas le droit de me garder ici contre mon gré, je demande à regagner immédiatement mon domicile !
Le docteur Brisset lui répond que le Maire a signé une demande d'internement en bonne et due forme et que la durée de celui-ci dépend maintenant de l'expertise psychiatrique et donc de l'avis qu'elle rendra au sujet d'Anne. Anne comprend maintenant le piège qui lui a été tendu par le Maire et surtout que celui-ci a parfaitement préparé son "coup". Sous couvert de s'assurer de la compétence de son institutrice, risque surtout d'avoir trouvé un bon moyen si ce n'est de se débarrasser d'elle, du moins mettre sérieusement en doute ses facultés à exercer son métier. Résolue à se tirer d'affaire Anne ne voit que la fuite pour échapper à ce plan diabolique.
Semblant être sans réaction suite à l'annonce de son internement, elle se précipite vers la porte de la chambre pour s'enfuir. Elle est cependant bloquée par les deux infirmières qui, anticipant sa réaction, étaient restées attentive à ce que la jeune institutrice malgré sa tenue vestimentaire ne tente de leur échapper. Elles prennent chacune un bras d'Anne qui malgré ses tentatives n'arrivent pas à leur faire lâcher prise. Elles entraînent maintenant Anne vers le lit et la force à s'y allonger. Le docteur Brisset en profite pour quitter la chambre, mais revient quelques instants plus tard accompagnée de deux autres infirmières. Celles-ci ouvrent un grand placard situé dans la chambre grâce à une clef spéciale et en sorte des sangles. Ainsi équipées, elles rejoignent leurs deux collègues qui maintiennent l'infortunée Anne allongée sur le lit se débattant sans succès pour se dégager. Elles lui attachent les poignets aux barreaux du lit puis procèdent de même avec ses jambes attachées au niveau des chevilles.
Anne est maintenant solidement attachée au lit et malgré ses efforts ne peut absolument pas espérer se libérer. Le docteur Brisset qui assistée impassible à la scène indique à Anne que sa réaction montre bien que les doutes du Maire à son encontre semblent loin d'être infondés. Une personne normalement constituée n'aurait pas cherché à fuir un simple entretien psychiatrique de la sorte.
- Je repasserai demain matin pour voir si vous êtes dans de meilleures dispositions, en attendant je vous laisse aux soins de l'équipe infirmière.
A ces mots Anne lui hurle son mécontentement par une volée d'injure qui laisse de marbre le praticien qui quitte la chambre. Déjà les infirmières s'activent autour de leur nouvelle patiente. L'une d'elles emporte les vêtements d'Anne pour une destination inconnue. Deux autres complètent l'immobilisation de la jeune femme par une sangle à la hauteur de l'abdomen et fixée sous le lit pour l'empêcher de se cabrer en tirant sur ses liens. La dernière lui fait part des règles de fonctionnement du service.
- Tant que vous serez aussi agressive, nous vous maintiendrons entravée sur votre lit, en temps normal vous serez libre de circuler dans votre chambre et vous pourrez disposer du parc de la clinique deux heures par jour dans la zone clôturée prévue pour l'unité psychiatrique. Les repas sont pris en chambre.
N'écoutant pas ses consignes Anne continue à injurier copieusement les infirmières autour d'elle. L'une d'elle retourne chercher quelque chose dans le placard mais Anne ne peut pas la suivre du regard car celui-ci est situé derrière la tête de lit. Elle ne tarde cependant pas à comprendre ce qu'elle est allée chercher quand cette dernière lui force la bouche avec un bâillon-boule dont elle fixe les lanières sur la nuque de la jeune femme. Ses injures ne sont plus que des grognements étouffés à sa plus grande rage.
- Tu ne croyais pas nous casser les oreilles plus longtemps lui fait l'infirmière, utilisant désormais le tutoiement.
L'autre infirmière farfouille à nouveau dans le placard sans qu'Anne puisse deviner ce qui lui est encore destiné. Elle ne tarde pas à le savoir lorsqu'elle s'approche avec une couche dans la main, sorte de serviette hygiénique de grande taille épaisse de deux bons centimètres. D'un geste précis elle rabat la courte blouse d'Anne avant de lui baisser sa culotte au maximum autorisé par les jambes largement écartées de la jeune femme, tenue aux quatre coins de lits par les sangles. Elle positionne rapidement la couche droite à l'entrejambe d'Anne avant de repositionner sa culotte, temps bien que mal, celle-ci étant pas prévu pour accueillir pareil "accessoire". La première infirmière indique à Anne qu'il s'agit d'une protection provisoire en attendant mieux (sic) lorsque cette dernière serait plus raisonnable.
- Tous nos patients en portent, les chambres n'étant pas pourvu de toilettes et cela permettant de limiter les allées et venues propices aux agressions sur les infirmières où aux tentatives de fuites.
Pour parachever cette situation des plus humiliante, l'infirmière qui a positionner la couche a pris soin de ne pas rabattre la blouse d'Anne laissant bien en vu sa blanche culotte déformée par l'épaisse couche droite. Les trois infirmières laissent maintenant seule la pauvre Anne à son sort.
Deux heures plus tard, je me rends au chevet de notre jeune institutrice. Je la trouve dans la situation où l'ont laissé les infirmières, attachée au lit. La couche droite est bien visible car elle dépasse un peu de la culotte sur l'avant ainsi qu'à l'entrejambe car elle est plus large à cet endroit que la petite culotte de coton d'Anne. Je joue parfaitement le jeu voulu en informant Anne de la mission qui nous a été confiée par le Maire, mais qu'elle ne doit pas prendre cela au tragique comme elle le fait car cette procédure est parfaitement réglementaire et pas si exceptionnelle que cela. Pour prouver ma bonne foi, je lui enlève le bâillon de la bouche car je sais que cela est très désagréable d'en supporter un pendant trop longtemps.
La jeune femme passe plusieurs fois sa langue sur ses lèvres et, plus calmement qu'auparavant, m'explique qu'elle est victime d'un acharnement de la part du Maire. Je lui indique que je n'ai pas à juger des motivations, mais qu'il ne tient qu'à elle de ne pas rendre son séjour ici plus désagréable. Je la sens moins vindicative qu'à son arrivée, ce pourquoi je décide d'enclencher le programme classique. Je la rassure en lui indiquant si dès demain les psychiatres de l'établissement donne un avis favorable, elle pourra regagner son domicile. Il s'agit d'une décision collégiale des deux psy, le docteur Brisset qu'elle a déjà rencontré et le docteur Alain Cohen.
La perspective d'une sortie possible dès le lendemain conforte un peu plus la jeune femme qui semble revenue à de bien meilleures dispositions. J'appelle deux infirmières de l'équipe soignante et laisse Anne à leur soin. On peut lire leur prénom sur le revers de leur blouse, il s'agit de Mathilde et Claire. Cette dernière indique juste qu'elles vont mettre en chemise de nuit à Anne avant que ne me soit servi le déjeuner. Elles commencent par détacher les poignets d'Anne sans cependant détacher ses jambes. Cela leur permet de déboutonner la blouse et de l'enlever. Anne maintenant assise dans le lit ne porte plus que ces sous- vêtements et sa couche droite. Mathilde passe dans le dos d'Anne pour dégrafer son soutien-gorge et lui enlever. Claire a déjà amené une large chemise de nuit qu'elle passe par la tête d'Anne puis dont elle lui fait enfiler les manches. Ceci fait, les deux infirmières ré-attachent les bras de la jeune femme aux barreaux de son lit. Elles passent ensuite au pied du lit et détachent les sangles qui relient les chevilles d'Anne au lit. La jeune femme en profite pour se frotter les chevilles l'une contre l'autre, meurtri par cette position imposée par les sangles. Les deux infirmières la laisse faire et en profite pour aller chercher dans le vaste placard du matériel.
Elles reviennent avec du talc, un large tube de crème et surtout plusieurs couches de taille adulte de différents modèles apparemment. Anne relève la tête pour voir ce qui lui destiné et comprend vite qu'on va lui mettre, comme annoncé, une couche-culotte identique à celle que porte les enfants. Mathilde retire maintenant la culotte d'Anne, celle-ci la laissant faire. Elle découvre ainsi la couche droite restée intacte, Anne n'ayant pas eu à l'utiliser. Elle l'enlève prestement et découvre le pubis de la jeune institutrice. Celui-ci laisse apparaître une petite toison de poils blonds comme la chevelure de la jeune femme. Celle-ci est peu fournie, la jeune femme n'étant pas très velue. L'infirmière enfilant des gants de latex, passe sa main sur la toison d'Anne et lui indique qu'elle ne la rasera pas dans l'immédiat mais qu'elle se réserve de le faire si ses couches venaient à lui faire des irritations. A ces mots Anne relève la tête puis se laisse retomber sur le lit sachant qu'elle ne peut, de toute façon rien y faire.
Claire demande à Anne de garder les jambes écartées, ce qu'elle fait puis celle- ci sent des doigts gainés de latex lui mettre de la crème sur son sexe et sur le haut de ses cuisses. La crème est froide ce qui ajouté à la gêne d'être ainsi explorée dans son intimité fait frémir la jeune femme. C'est maintenant du talc qui est saupoudré sur l'entrejambe de la jeune femme. Mathilde prend un à un les change-complets qu'elle a sélectionné et les positionne les uns après les autres sous les fesses d'Anne pour choisir le modèle qui lui semble le plus approprié. Anne allongée sur le lit ne voit pas les couches en question mais sent les différents modèles, certains sont plus ou moins larges, plus ou moins épais. La petite séance dure un bon quart d'heure pendant laquelle Anne à les jambes grandes ouvertes devant ces deux infirmières qui semblent ne pas s'en émouvoir contrairement à Anne, jeune fille prude qui est fort mal à l'aise dans cette situation. Elle en vient même à souhaiter que sa couche lui soit rapidement mise, cette perspective lui paraissant si désagréable quelques heures auparavant.
Mathilde choisit finalement la couche d'Anne et lui refaisant lever les fesses une nouvelle fois, positionne le change. Il semble à Anne que ce ne soit pas le modèle le plus épais, ce qui était sa crainte, mais sa satisfaction relative est vite douchée car Mathilde lui indique que son change va être garni d'une couche droite identique à celle qu'elle vient de porter. L'infirmière indique que cela permet en cas de pipi pas trop abondant de ne changer que la couche droite, sans avoir à renouveler le change en lui-même. Joignant le geste à la parole, elle positionne une couche droite dans la couche-culotte et rabat celle-ci sur le ventre d'Anne. Cette couche droite renforce significativement l'épaisseur à l'entrejambe de la couche-culotte maintenant ainsi les jambes d'Anne relativement écartées. Elle finit son travail en positionnant les quatre adhésifs, deux de chaque coté de la couche. Elle passe ensuite sa main sur les élastiques autour des cuisses de la jeune institutrice pour s'assurer qu'ils soient bien en place avec un geste très précis fruit d'une expérience certaine.
- Voila ma chérie, te voila bien protégée, ta couche-culotte devrait te maintenir bien au sec.
Elle quitte la pièce sans avoir plus rabattu la chemise de nuit qu'elles n'avaient troussé la blouse le matin même. Anne découvre maintenant l'étrange sensation de porter une large couche, n'en ayant plus porté depuis sa tendre enfance. Seule consolation, ces jambes ne sont plus entravées. En relevant la tête, elle peut juste apercevoir le devant de cette large couche masqué par le bas de la chemise de nuit, retroussée sur le ventre de la jeune femme.
Encore une très belle histoire , merci pour ce beau partage , sa donne vraiment envie |
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